par Aurélie ARNAUD - Cabinet 2A avocat
Avocat en droit du travail Paris 8
Le Cabinet, situé dans le 8ème arrondissement à Paris, intervient régulièrement pour des employeurs et des salariés travaillant à Paris et dans toute l’Ile-de-France et également parfois en province.
Maitre Aurélie ARNAUD plaide ainsi très régulièrement devant les Conseils de Prud’hommes de Paris, Nanterre, Boulogne-Billancourt, Versailles, Bobigny, Créteil, Pontoise notamment.
Le fait pour Maître Aurélie ARNAUD de posséder la double casquette avocat employeur/avocat salarié constitue un avantage indéniable permettant d’anticiper les arguments de la partie adverse et de mettre en place une stratégie efficace multipliant vos chances de succès.
Le Cabinet est notamment amené à traiter les problématiques suivantes devant le Conseil de Prud’hommes et la Cour d’Appel :
– défense des salariés en contestation d’un licenciement (insuffisance professionnelle, licenciement pour faute simple, licenciement pour faute grave, licenciement pour motif économique) ou d’une rupture de période d’essai
– actions en nullité du licenciement (du fait d’un harcèlement moral ou sexuel ou d’une discrimination liée à l’âge, la religion, le sexe notamment)
– action en résiliation judiciaire du contrat de travail
– prise d’acte de la rupture du contrat de travail
– action en requalification de CDD et/ou contrats d’intérim en CDI
– action en reconnaissance du lien de subordination pour les travailleurs indépendants et auto entrepreneurs
– réclamations salariales, d’heures supplémentaires, non respect des forfaits jours
– problématiques liées au harcèlement moral ou sexuel, discrimination
– défense des employeurs lorsqu’ils sont attraits devant le Conseil de Prud’hommes par un ancien salarié et lorsqu’ils sont en demande notamment pour non respect par le salarié d’une clause de non concurrence ou du préavis
Le Cabinet vous précise dès le premier rendez-vous les demandes que vous pourrez formuler et les chiffre. Il vous alerte également sur vos risques.
Attention: depuis le 23 septembre 2017, si vous avez fait l’objet d’un licenciement à partir de cette date et que vous souhaitez le contester, vous devez saisir le Conseil de Prud’hommes dans le délai d’un an à compter de la notification du licenciement.